Les médias internationaux n’ont pas souvent fait une grande place à la crise malgache. Quand ils le firent, ils ne trouvèrent pas les bons analystes qui, dégagés du discours colonial, auraient été intimement au courant de la situation malgache et auraient bien connu les différents acteurs du monde politique et économique de la capitale, ainsi que les associations et regroupements informels qui préparaient un avenir autre que celui que promettait la transition hâtive.

L’EFFET RAVALOMANANA A RETARDEMENT